Comme l’écrivait Rousseau « Le superflu est
une chose nécessaire. « La mode est souvent perçue de manière futile
alors qu’elle est le reflet de notre époque et de l’évolution de la femme, de
sa volonté de s’affirmer en tant qu’individu libre qui s’exprime à travers les
vêtements. C’est un monde impitoyable pire que Dallas ou les tendances
s’enchainent à un rythme fou et parfois elles se renferment dans une
intemporalité qui est un empreint de réminiscence,
le lieu de l’imagination et de la séduction.
La mode est
scrutée et analysée par les reines rédactrices de mode tel qu’Anna Wintour pour
le Vogue US qui ont le droit de vie ou de mort sur les créateurs en ayant un
œil aiguisé sur chaque nouvelle collection, elles peuvent mettre en lumière un
directeur artistique d’une marque ou leur faire connaitre l’obscurité
médiatique.
De plus une
nouvelle catégorie de fashionistas voit le jour : les blogueuses modes qui
ont plus de légitimité que la néo-starlettes célèbrent pour rien qui font la
passerelles entre les podiums et les looks de la rue ; ainsi elles savent
adapter l’étendue des tendances et rendre accessible une mode qu’on pourrait
penser être réserver aux élites. Elles insufflent un souffle nouveau dans une
ére ou le leit motiv je m’habille donc je suis fait écho dans une société qui
veut s’affranchir d’un quotidien paralysé par l’uniformité.
That's all folks !!!